Je dors contre un de ses vêtements là. Ca m’aide.
27 octobre 2013 – 01:21
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Je dors contre un de ses vêtements là. Ca m’aide.
Je me sens seul face à la mort programmée de ma mère, sa disparition prochaine. Lente agonie, un supplice.
Tantôt distant pour supporter, tantôt là, à essayer d’aider, assumer au mieux les tourments, y compris autour.