Je ne pourrai pas te parler en cette vie depuis l’espace. Le ciel porte ton image parfois. Tu aimais les tempêtes. La larme à les entendre en famille, si heureux et uniques en ce moment d’élévation. La science avance, et tu es déjà ailleurs, comme nous le serons à la suite. Un peu de volley toujours ici, quelques expos et bons restos au mieux. Tu aurais adoré continuer avec nous, en ce monde si dur et merveilleux à la fois. Je t’embrasse Maman, à te sentir influencer le temps ou les événements, si petites soient-elles ces vibrations de l’au delà. Les premiers voyages humains autour de la Terre étaient de ton époque. Espérons les prochains intergalactiques et trans-dimensionnels pour se retrouver autrement. Nous restons liés à jamais, de part le passé, nos êtres éparpillés, et l’immensité pour rêver. J’aimerais bien renaître à notre attachement affectif si essentiel comme universel, connectés d’un téléphone à des câlins maternels. Murakoze, ti amo. *
https://www.youtube.com/watch?v=Ye9U6DfU33g
(nullement binaire ni totalement naïf sur les pouvoirs qui commandent et bénéficient des recherches de ces aventuriers aux ordres)